Osiris, le réceptacle de toutes nos informations
Mais pourquoi, finalement, ne pas s’affranchir totalement d’Osiris, puisque la majorité des collaborateurs et des collaboratrices ainsi que la clientèle de la BCV disposent aujourd’hui d’une large gamme d’applications plus modernes et plus ergonomiques?
Parce qu’Osiris continue de jouer un rôle clé en arrière-plan des applications et des fonctionnalités bancaires courantes. «Dans une banque universelle comme la nôtre, explique Serge Messin, quelles que soient les activités exercées, toutes les transactions doivent, à un moment ou à un autre, converger au même endroit. Et à la BCV, c'est Osiris qui remplit cette fonction de centralisation.»
Interconnecté avec près de 200 applications métiers de la BCV, Osiris agit, en effet, comme un entonnoir, rapatriant, organisant et stockant toutes les données nécessaires notamment à la comptabilité de la Banque. Les informations sont acheminées selon leur finalité business dans l'un des dix compartiments d'Osiris, chacun correspondant à une grande activité bancaire: tiers, dépôts, crédits, paiements, négoce de titres, comptabilité, etc. (voir infographie ci-contre).