Témoignages

Nos experts ont la parole

La BCV est présente dans les médias au travers des dires et des écrits de collaboratrices et collaborateurs représentant la plupart des métiers. Leurs contributions peuvent aussi être consultées sur www.pointsforts.ch, ou sur le site bcv.ch.
| Par Anne Gaudard, BCV

Ils contribuent à la bonne image de la BCV. Ils écrivent des articles, répondent à des interviews, interviennent dans des émissions. Ils, ce sont nos experts. Des collaboratrices et des collaborateurs qui incarnent dans les médias le savoir-faire de la Banque.

Mettre en valeur les compétences de la BCV et, ainsi, donner des informations, des explications ou des conseils utiles au public, telle est la mission des expertes et des experts de la Banque. Couvrant la plupart des métiers, la liste a été établie par les divisions et le département Médias & Communication, et validée par la Direction générale, dans le but de pouvoir répondre au mieux aux demandes des journalistes. Une communication qui passe systématiquement par Médias & Communication. La présence de la Banque dans les médias passe par ces interventions, mais aussi par la publication d’articles maisons ou par la participation régulière de nos expertes et experts à des émissions. Avec toujours ce fil rouge qu’est le contenu de qualité au service des Vaudoises et des Vaudois.

 

«Si personne ne nous voit, ne voit quelles sont nos spécificités, nous manquons une partie de nos objectifs», constate Fernando Martins da Silva, directeur de la Politique d’investissement. «Une présence dans les médias permet d’asseoir la crédibilité de la BCV.» Et de préciser: «pour nous, à la Politique d’investissement, il s’agit de montrer que la BCV possède sa propre capacité d’analyse, sa propre manière d’aborder les marchés, ses propres processus. En communiquant, notre but est de permettre à un large cercle de professionnels et au grand public de connaître et reconnaître notre approche».

Un savoir-faire par ailleurs estampillé «de proximité». Pour Patrick Botteron, directeur du Private Banking Onshore, «la prise de parole dans les médias sert de relais à notre expertise dans le but aussi de renforcer l’image de la Banque comme acteur local: les gens apprécient d’écouter ou de lire des spécialistes qui ne sont pas à Londres ou à Zurich».

Recul de rigueur

Si, souvent, les demandes des médias concernent l’actualité chaude, dans leurs articles, les experts préfèrent le recul. Ainsi, Fernando Martins da Silva ne favorise pas le commentaire quotidien régulier, «je préfère mettre en avant des messages importants lorsque la situation l’exige». Alain Barbezat, responsable de la gestion des marchés émergents, évite, lui, autant que faire se peut, «l’information instantanée sur un sujet d’actualité. D’une part, car elle n’offre souvent pas le recul nécessaire à une analyse complète et, d’autre part, car il y aura rapidement pléthores d’articles sur le sujet, ce qui dilue l’impact médiatique recherché».

Banque universelle, la BCV se doit de communiquer dans de nombreux domaines. Pour Patrick Botteron, «le message est plus important que le messager». C’est pourquoi il est essentiel de décliner certains thèmes dans différents médias. «Un même message doit être présenté différemment selon les canaux de diffusion afin de toucher le public le plus large possible». Exemples à l’appui: «sur le plateau de Votre Argent sur La Télé, nous devons soigner l’aspect didactique afin que le message soit accessible à tout le monde. Dans Générations, nous pouvons davantage développer le sujet et apporter plus d’informations au lecteur.» La multiplication des thèmes traités peut aussi servir à réveiller l’intérêt des gens, ajoute Alain Barbezat, «mais il est important d’avoir une certaine constance temporelle. La régularité permet de garder présent le nom de la BCV.»

«Un même message doit être présenté différemment selon les canaux de diffusion afin de toucher le public le plus large possible.»

Patrick Botteron, directeur du Private Banking Onshore

Papier ou digital?

Communiquer, mais pour être lu, vu ou entendu? Aujourd’hui, la question se pose avec d’autant d’acuité que les canaux de diffusion sont toujours plus nombreux. Alain Barbezat plaide pour une exploitation parallèle des différents canaux. «Les médias digitaux prennent de plus en plus de place dans l’information, mais une grande partie des investisseurs – de l’ancienne génération, dirons-nous – sont encore très attachés à la presse écrite». Patrick Botteron défend aussi le mix médiatique, mais souligne que «si les réseaux sociaux ont pris trop d’importance au quotidien, ils demeurent incontournables dès que l’on cherche à véhiculer une image». Sur les réseaux sociaux, il suit d’ailleurs une stratégie claire. «Je communique avec trois ou quatre thèmes qui permettent de renforcer l’image de banquier privé de proximité de la BCV».

Avec quels résultats? Car, au-delà de l’image, la finalité ultime de cette valorisation du contenu est bien d’«amener les investisseurs potentiels à prendre en compte les produits d’investissement proposés par la Banque dans leurs décisions d’investissement», résume Alain Barbezat. C’est vrai pour les fonds, comme pour tous les autres services de la Banque. Si elle est impossible à mesurer directement, la présence de nos experts dans les médias peut être jaugée à l’aune de l’image globale de la Banque, mais aussi au gré des échos recueillis par les experts – nombreux –, aux nombres de clics sur les réseaux sociaux ou encore des visites sur www.pointsforts.ch.

Rendez-vous sur Pointsforts

La plupart des productions BCV se retrouvent en effet sur www.pointsforts.ch, site à partir duquel elles sont ensuite relayées via Facebook, LinkedIn, Twitter, mais aussi des newsletters. «Le site www.pointsforts.ch est important dans la mesure où il constitue la vitrine de notre savoir-faire et de nos compétences», souligne Patrick Botteron.

«L’écriture, un exercice nécessaire»

Alain Barbezat, responsable de la gestion des marchés émergents:

«L’écriture est un exercice moins simple qu’il n’y paraît. Il faut être capable d’exprimer une opinion ou un point de vue de la manière la plus complète et concise possible. Il faut également être capable de vulgariser sans bêtifier. Pour y arriver, un certain travail est nécessaire en amont qui nous oblige à nous assurer que tous les éléments sont bien pris en compte et s’imbriquent bien les uns dans les autres.
Il faut également être conscient de nos biais cognitifs qui pourraient nous amener à négliger certains aspects que notre inconscient veut nous faire occulter, car contraires à notre conviction première. Cette faille peut donner au lecteur l'impression d'un manque de rigueur, mais plus globalement – et souvent de manière inconsciente – elle peut aussi s’avérer préjudiciable aux investissements des gérants. En fait, écrire est un exercice que tout gérant devrait s’imposer avant une prise de décision. Malheureusement, cet exercice peut s’avérer chronophage. Écrire un article pour la presse est un bon moyen de s’y contraindre.»

Principales publications

  • 24 Heures, trois lundis sur quatre hors vacances.
  • Générations, trois fois par an.
  • Allnews, une fois par mois.
  • L’AGEFI, régulier.
  • Le Temps, ponctuel.
  • PME Magazine, deux fois par an.
  • «VOTRE ARGENT» (La Télé), tous les quinze jours.
  • «VOTRE ARGENT SPÉCIAL PME», sept fois par an.
  • Et ponctuellement dans d'autres publications romandes, ainsi que dans la presse alémanique.

Rendez-vous sur pointsforts

Vitrine de la BCV, www.pointsforts.ch regroupe une grande partie de la production de nos expertes et experts. Parmi les thèmes les plus suivis figurent l'immobilier, la prévoyance, les impôts ou encore les investissements (voir les vidéos ci-dessous).

Quant à l'article le plus lu, c'est: "Je n'ai pas déclaré tous mes comptes!".