Papier ou digital?
Communiquer, mais pour être lu, vu ou entendu? Aujourd’hui, la question se pose avec d’autant d’acuité que les canaux de diffusion sont toujours plus nombreux. Alain Barbezat plaide pour une exploitation parallèle des différents canaux. «Les médias digitaux prennent de plus en plus de place dans l’information, mais une grande partie des investisseurs – de l’ancienne génération, dirons-nous – sont encore très attachés à la presse écrite». Patrick Botteron défend aussi le mix médiatique, mais souligne que «si les réseaux sociaux ont pris trop d’importance au quotidien, ils demeurent incontournables dès que l’on cherche à véhiculer une image». Sur les réseaux sociaux, il suit d’ailleurs une stratégie claire. «Je communique avec trois ou quatre thèmes qui permettent de renforcer l’image de banquier privé de proximité de la BCV».
Avec quels résultats? Car, au-delà de l’image, la finalité ultime de cette valorisation du contenu est bien d’«amener les investisseurs potentiels à prendre en compte les produits d’investissement proposés par la Banque dans leurs décisions d’investissement», résume Alain Barbezat. C’est vrai pour les fonds, comme pour tous les autres services de la Banque. Si elle est impossible à mesurer directement, la présence de nos experts dans les médias peut être jaugée à l’aune de l’image globale de la Banque, mais aussi au gré des échos recueillis par les experts – nombreux –, aux nombres de clics sur les réseaux sociaux ou encore des visites sur www.pointsforts.ch.
Rendez-vous sur Pointsforts
La plupart des productions BCV se retrouvent en effet sur www.pointsforts.ch, site à partir duquel elles sont ensuite relayées via Facebook, LinkedIn, Twitter, mais aussi des newsletters. «Le site www.pointsforts.ch est important dans la mesure où il constitue la vitrine de notre savoir-faire et de nos compétences», souligne Patrick Botteron.