Le RPA a besoin de règles claires
Un robot travaille sur plusieurs applications bureautiques: écrans, claviers, souris. Il aide à intégrer un système d’information (SI) décousu et permet d’orchestrer des procédures multiécrans, multiapplicatifs, ce qui évite de coûteux investissements dans le développement d’interfaces IT (programmes permettant des échanges de données dans la technologie de l’information). On peut ajouter que le RPA doit être défini avec des règles claires, ne laissant pas de place à la créativité ou à l’interprétation. Ces robots évoluent dans plusieurs domaines et métiers de la Banque. En fait, ce sont des membres de plus dans une équipe et ils figurent d’ailleurs dans l’annuaire des collaboratrices et des collaborateurs de la BCV, sous le petit nom de «Rpa».
Le RPA a fait ses premiers pas à la BCV en 2019
«En introduisant le RPA à la Banque, nous souhaitions avant tout automatiser des tâches répétitives, assez fréquentes, reposant sur des règles de traitement claires», explique Cédric Krier, responsable senior projet Multicanal (voir infographie ci-dessous). «Ces tâches ainsi que les applicatifs utilisés devaient être également pérennes et stables pour justifier l’investissement», ajoute-t-il.